L'art dans le métro de Toronto, au Canada, commença d'apparaître depuis l'ouverture en 1978 de la ligne Spadina (qui fait partie de la ligne 1 actuelle). Ce changement a été inspiré par l'art du métro de Montréal.
Aujourd'hui, grâce au programme d'art public TTC, l'art est intégré dans l'architecture de chaque nouvelle station de métro. Ce programme a été inauguré en juillet 1994 en anticipant la ligne Sheppard (la ligne 4 actuelle).
Pour les stations existantes, depuis quelques années, chaque nouvelle œuvre d'art installée appartient normalement à un des deux programmes officiels — le programme d'art public TTC (TTC Public Art Program), ou le programme d'art communautaire (Community Art Program). Le premier est un processus formel, avec jury et lié à un projet d'amélioration de station, alors que le deuxième nécessite l'appuie de la communauté et de son conseiller municipal (ou sa conseillère municipale),.
En principe, les œuvres d'art appelées « publics » sont permanentes, alors que celles dites « communautaires » peuvent être détruit ou supprimé après 5 ans. Toutefois, les œuvres communautaires ne sont pas nécessairement temporaires — car pour la TTC, ce mot signifie 5 ans ou moins. On observe qu'en réalité, par exemple, A Sense of Place, une peinture murale acrylique sur béton, survivait comme une œuvre permanante jusqu'à la démolition de son support. En revanche, Dwell, une sculpture en bronze, a été supprimé après quelques années comme une œuvre temporaire. (À l'extrème, LightSpell, une très grande installation informatisée, a été désactivé avant l'ouverture de la station.)
Il y a aussi des dons, par exemple Rhythm of Exotic Plants ou les trois poteaux totémiques gitksans. Ils se classent parmi les œuvres d'art public.
Œuvres
Notes
Références
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